saint germain les paroisses
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Les entreprises

GAEC TETAZ

Françoise Tétaz est entrée dans l’exploitation agricole de ses
parents, en 1987. Roger, son mari, la rejoint en 1991, quand Henri Castin prend sa retraite. L’exploitation familiale a compté pendant longtemps un employé à 1/3 temps. Aujourd’hui, elle emploie une jeune apprenti, en Bac Pro.

Un bel outil de travail : 
En 2003, l’EARL décide de se doter d’un bon outil de travail et construit une stabulation. « Nous avons visité beaucoup de bâtiments, demandé l’aide de conseillers techniques et fait le point sur notre propre expérience avant de nous lancer, explique Roger. Nous avions 2 objectifs : nous mettre aux normes et à distance réglementaire des habitants d’Appregnin et nous munir d’un outil de travail qui puisse être repris quand nous prendrons notre retraite. »

                         

L’activité de l’ exploitation :
1- LA PRODUCTION LAITIÈRE : 50 vaches produisent 375 000l de lait/an. Pour renouveler le troupeau, 60 génisses sont élevées jusqu’à 3 ans et permettent un roulement de 20 nouvelles laitières/an. « En principe, une vache produit du lait dès l’âge de 2 ans. Nous préférons les laisser grandir un an de plus avant de les mettre au travail » confie Françoise. Le lait est vendu par une coopérative qui regroupe 25 producteurs.
« Nous avons un taureau pour les jeunes génisses que nous surveillons moins. Sinon, c’est un peu du folklore ! Car 95% des fécondations se font par insémination artificielle. »

Une vache, ça mange quoi?
« L’été, les vaches mangent de l’herbe, l’hiver, elles ont droit à du foin, de l’ensilage et du maïs. Toute l’année, nous complémentons leur alimentation avec du tourteau et des céréales. »
2- LA PRODUCTION CÉRÉALIÈRE : Les 200ha exploités sont réservés aux 3/4 pour l’herbe donnée aux vaches, et 1/4 pour la culture de céréales : blé, maïs, l’orge et colza. Les céréales sont vendues à une coopérative de la région. La crise ? Notre produit part tous les jours. Pour nous, le problème se situe par rapport au prix du litre de lait (0,30cts/l), qui est décidé par des accords régionaux ( et des indications nationales). Nous n’avons aucun poids là-dessus. Notre seul levier : réduire nos charges de structure, de frais d’élevage et nos charges alimentaires.

Le poids des normes ? « Nous fonctionnons en charte des bonnes pratiques et notons tous les traitements donnés, notifions les naissances, les entrées et sorties sur le troupeau ; le lait est analysé 3/mois, de façon aléatoire. C’est lourd, oui et non. Il faut être organisé, ensuite cela rend même de fiers services ! » conclut Françoise.

LA CUMA : En 1972, une coopérative agricole est créée et reprend les locaux de l’ancienne fruitière qui cesse alors son activité. En 1993, elle fusionne avec une autre coopérative et donne naissance à la Cuma qui compte 7 adhérents (Condon, Prémeyzel , Colomieu, Conzieu, Contrevoz et Saint Germain). Cette coopérative met du gros matériel à disposition des agriculteurs  : tracteurs, charrues, tonneaux à lisier, épandeurs... Elle permet aussi de mettre en commun les forces de travail. En temps de gros chantier (moissons par exemple), les agriculteurs se « donnent la main » et travaillent ensemble..

Entreprise PAUGET



Le grand-père d’Isabelle PAUGET, était menuisier. Il a travaillé pendant 40 ans dans l’entreprise GREVEY, à Saint Germain. Son fils, Jean-Claude, a créé son entreprise dans les années 70. A l'époque, il était plombier-zingueur, puis il s’est lancé dans la charpente.
Isabelle a repris l’entreprise familiale il y a 22 ans et dirige actuellement une petite équipe de 3 employés.

L’ACTIVITÉ :

L’entreprise effectue sur un rayon de 20 km environ autour de Saint Germain les Paroisses, des travaux de couverture charpente. Spécialisée dans les petites tuiles, elle pratique le repassage à tranchée ouverte.

« Je suis fière de ma petite entreprise, explique Isabelle. Elle a su maintenir une activité sur son territoire d’origine ; ainsi, sur la commune de Saint Germain, nous sommes intervenus sur plus d’une trentaine de toits. C’est dire que nous connaissons bien l’état des toitures et des maisons de chez nous ! »

La zinguerie, métier qui se perd et qui est tout un art, fait aussi partie de son
activité.  
L'entreprise PAUGET propose également l’aménagement des
combles ainsi que des pièces de vie : chambre, salle de bains ou encore bureau.

FACE À LA CRISE ? 

« Bien entendu, la crise économique a des répercussions sur notre activité ; les particuliers discutent leurs devis et bien souvent, enlèvent une petite chose par-cì, par-là. L’époque n’est plus aux fioritures.
Par contre, il est plus que jamais nécessaire de veiller au bon état de santé de sa maison et de son toit.
Notre carnet de commande n’est donc pas vide. »

Entreprise 4 ASBEST

 

Jean-Pierre GOUMAZ a commencé à travailler dans la charpente en 1967. « En 1977, je me suis mis à mon compte, à La Burbanche, puis à Rossillon, avant de venir m’installer le 1er octobre 2004 à Saint Germain. Je regrette que M. Grevey n’ait pu me voir reprendre son activité... ».

L’activité de l’entreprise se répartit ainsi :
2/3 de nos plus gros travaux se fait en couverture-zinguerie-charpente. Jean-Pierre et son équipe de 7 charpentiers sont des pros, n’en doutez pas. A leur actif de très beaux toits de châteaux, de beffrois, et de grosses propriétés.
« C’est motivant pour les gars, ils travaillent sur des bâtiments classés, avec de très beaux matériaux et doivent respecter toutes les règles de l’art pour mettre en valeur et préserver un patrimoine. » Et puis, certains gros chantiers demandent des techniques particulières qui stimulent, changent d’un travail ordinaire. « Pour le toit de Pierre Chatel, nous avons dû travailler avec un hélico pour transporter des poutres de 900kg chacune ! ».

Une orientation pour l’entreprise ? 
La Sarl GOUMAZ a obtenu le label éco-artisan, c’est-à-dire qu’elle s’engage auprès de ses clients à améliorer les performances énergétiques de son logement ; elle met également en oeuvre, dans ses corps de métier, des solutions respectueuses de l’environnement. « Dans ce cadre, nous posons de plus en plus de panneaux isolants écolos en fibres de bois. Nous montons également des maisons en ossature bois. »

Et l’activité menuiserie ?
L’entreprise compte 3 menuisiers et une responsable. Ils travaillent bien, eux aussi ! s’exclame Jean-Pierre. Votre secteur d’activité ? « Nous travaillons dans un rayon de 30km, et n’en sortons que lorsque les chantiers sont vraiment intéressants. » La formation, vous en pensez quoi? « Tout passe par là ! Nous avons chez nous 3 apprentis, 2 CAP et un BTS. Et chacun des employés effectue chaque année entre 2 à 10 jours de formation. Il y a celles obligatoires comme les CACES et puis d’autres pour se former aux 1ers secours, à l’amiante, en zinguerie, en RDM... ».

La crise ?
Nous avons toujours eu du travail... et avec la crise, j’ai même eu la chance de recruter du personnel hautement qualifié. Sinon, on a fait des efforts comme tout le monde et puis nous avons diversifié nos démarches commerciales.

Des Objectifs ? « L’entreprise a de la chance, elle se porte bien. Il va falloir que je songe à trouver un repreneur pour la partie charpente... »

Christine GERBOUDEntreprise de Prothèse dentaire

 

Après 4 ans de formation à Lyon puis des années d’expérience dans divers cabinets de prothésistes dentaires, Christine GERBOUD a décidé de créer sa petite entreprise familiale, en 1989.
A partir d’empreintes effectuées par le dentiste, Christine choisit le matériau qui lui semble le plus adéquat (céramique, métaux, résine, pâte thermoplastique) et moule, sculpte la prothèse commandée. Cela sous-entend un équipement important (fronde à induction, pompe à vide, sableuse, four à céramique, compresseur...).
L’investissement de départ a été lourd et donc, forcément, les débuts de l’entreprise ont été difficiles. Mais finalement, l’entreprise a su faire sa place. Tournée vers la formation, Christine prend toujours le temps de former des apprentis. Et chacun d’eux , en CAP, BP ou maintenant en BAC PRO, a réussi son diplôme !

Les valeurs sûres de cette petite entreprise :
Face à la pénurie inquiétante de dentistes dans notre région proche, Christine a choisi d’opter pour la qualité et la réactivité.

Qualité : la concurrence chinoise est rude ; aujourd’hui, 35% des prothèses partent en Chine ! Christine a parié sur la qualité de son travail artisanal, proche de l’art dans tous les gestes, et sur la qualité des produits qu’elle utilise, avec une traçabilité irréprochable.

Réactivité : la fabrication se fait dans des délais de plus en plus brefs : une 1/2 journée pour les réparations, 2 à 5 jours pour les prothèses ! Ainsi, 2 fois/jour, il faut livrer les dentistes de Belley, Artemare, Culoz, Yenne... et faire des envois postaux pour d’autres. « Avec la neige, c’est grandiose ! » On l’aura compris, pour être performant, les heures ne se comptent pas par 35. Quant aux dimanches et aux heures de repos... « ça existe, ça ? » !
               

Mais que fabrique donc Christine dans son atelier ?
Couronnes, bridges, dents sur pivot ou appareils d’orthodontie, Christine est une technicienne pointue qui fabrique ou répare des fausses dents qui remplaceront des dents cassées ou malades. Elle est donc capable d’une extrême minutie mais également d’un sens évident de l’esthétique. « Faire une dent, cela relève de l’art » explique Christine. Pendant qu’elle me parle, elle peint délicatement une dent en céramique. Rajout d’ombres, de transparences et de fausses lignes, tout est fait au pinceau, par touches minuscules. L’objectif ? « Rendre la céramique plus vraie que vraie ! » dit en souriant Christine.

Pas de doute, Christine GERBOUD est un chef d’entreprise compétent qui aime véritablement son métier !

GAEC DE BEAURETOUR

En 2000, Philippe MOISAN installe une exploitation de polyculture avec un élevage de brebis sur la commune de Saint-Germain-les-Paroisses. C'est en 2013, qu'avec son épouse, ils créent le GAEC de Beauretour et décident de diversifier leur production en abandonnant l'élevage de moutons et en se consacrant à l'élevage de vaches de race Aubrac et de poules pondeuses. Ce nouveau départ est également marqué par une conversion de leur entreprise en une exploitation d'agriculture biologique. Ce chois, ils l'ont fait par conviction : 0 engrais, 0 produits chimiques, désherber mécaniquement pour une meilleure qualité de vie et manger sainement. Pour réussir cette conversion, ils se sont rapprochés auprès d'autres exploitants "bios" et soulignent qu'il y a une entraide forte dans le réseau de l'agriculture biologique.

Ils commercialisent leurs produits, oeufs et viande, en vente directe ce qui leur permet de valoriser leurs produits. Les points de vente collectifs auxquels ils adhèrent sont le prolongement de leur activité. Leurs produits sont disponibles à Bugey côté fermes (Belley), le tram paysan (Bellegarde) et à la Ravoire paysanne (La Ravoire). A ce jour, le GAEC de Beauretour est une exploitation stable qui démontre que le choix de Sylvie et Philippe est rentable et pérenne. Leur travail quotidien privilégie une qualité de notre alimentation et de notre environnement.

Le GAEC de Beauretour en quelques chiffres :

34 vaches et 20 génisses, 1200 poules (800 oeufs produits par jour), 120 hectares de surfaces exploités

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